Août 23, 2019 Actualité 0 comment

Face à la révolution digitale, une posture d’acteur !

CEO de Google Belgique, Thierry GEERTS obéissait à plusieurs objectifs lorsqu’il s’est lancé dans la rédaction de son ouvrage DIGITALIS, paru il y a peu chez Racines.

Le premier consistait simplement dans le fait de sensibiliser ses lecteurs au caractère inéluctable de la révolution digitale actuellement en cours. Mobilité, soin de santé, industrie, commerce, enseignement, information, culture, services de toutes espèces : les domaines sont innombrables, dans les secteurs public comme privé, où le recours à Internet a permis d’énormes progrès, que ce soit en termes d’efficacité, de rapidité, de palette de choix, ou encore d’économies.

Au demeurant, cet impact n’est amené qu’à grandir, ne serait que du fait de l’accroissement constant du nombre d’individus nouvellement connectés : si pas moins de 4 milliards d’humains sont déjà en ligne aujourd’hui, il est attendu qu’un demimilliard supplémentaire vienne s’ajouter à ce nombre déjà coquet dans les 5 années à venir !

Au-delà de la mise en avant de ce constat de diffusion irréversible, Thierry GEERTS savait aussi, cela dit, qu’il lui incomberait – via son livre – de calmer un certain nombre d’angoisses liées à ce développement.

Il consacre ainsi un nombre appréciable de pages à la question de l’impact que cette digitalisation est appelée à avoir sur l’emploi. Pour lui, il est faux d’imaginer que la digitalisation (et la cybernétique, comme son complément) puisse avoir pour conséquence de mettre des milliers de travailleurs au chômage. Cette combinaison de nouveaux outils est surtout appelée à améliorer les compétences de nombreux professionnels, qui – aujourd’hui déjà en large partie, d’ailleurs – se trouvent rendus plus intelligents grâce aux outils mobilisables en ligne.

Que certains métiers répétitifs et sans vraie valeur ajoutée puissent être mis en péril, l’auteur de DIGITALIS ne le conteste donc pas. Mais ces tâches méritent-elles vraiment le combat d’arrière-garde que certains entendent leur dédier ? N’est-il pas plus intéressant de mettre cette énergie dans une adaptation des professionnels en question, de sorte à les entraîner vers des métiers plus intéressants, notamment grâce à l’usage accru de l’informatique qui y est fait, précisément ?

Pour Thierry GEERTS, poser la question c’est, dans même mouvement, y répondre !

« Adaptation » : le mot est à vrai dire central dans le propos du patron de Google Belgique, dépassant le seul enjeu de certaines professions menacées. Car ce terme doit aussi impérativement, à un niveau plus collectif – et jusqu’à l’échelle des politiques publiques, d’ailleurs -, caractériser les stratégies de nos entreprises, qui, dans le Plat Pays, ont pris un peu de retard…

Cela passe par une meilleure maîtrise du marketing digital, notamment : pour prendre un exemple, il doit devenir une évidence que le citoyen français qui taperait « praline belge » arrive alors sur le site d’un chocolatier de notre pays. Auprès duquel il sera amené à passer commande en vue d’une livraison à son domicile !

Pour Redline Communication, ces thèses – évidemment à peine effleurées ici – apparaissent comme autant de passionnants défis. Mais elles jouent aussi le rôle de confirmations et d’encouragements bienvenus, tant notre entreprise a déjà, de longue date, fait le choix d’embarquer – en vous entraînant à sa suite ! – dans cette étonnante aventure qu’est la digitalisation de ses services !

Puisse ce voyage plein de potentiel continuer, au fil des jours, à vous profiter toujours davantage !

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